• Web fiction et Web édition...


    FB One à Marseille et Ida Renerel's case sur le site Corsicapolar:


     

     

     Regarder la télé sur Internet est en passe de devenir un réflexe pour chacun et beaucoup parient sur les nouvelles technologies. A Marseille, la Provence et la chaîne LCM diffusent la première série de Web fiction  intitulée FB One<o:p> </o:p>dont le cadre est le légendaire Ferry Boat qui  traverse dans les deux sens le Vieux Port. Avec plus de 3000 visites par jour, FB One crée le buzz sur  le site du quotidien La Provence et une diffusion sur la chaîne LCM qui compte 75.000 téléspectateurs par jour.

     

    C’est le moment qu’a choisi le site Corsicapolar pour lancer sa collection Nuages noirs avec un premier récit déjanté  « L’affaire Ida Renerel » ( Ida Renerel’s case). Le site vous offre une lecture numérique gratuite en tournant les pages d’un livre virtuel  avec  des liens dans le récit qui vous permettent de surfer et de revenir à la page momentanément quittée.

    <o:p> </o:p>Avec cette nouvelle rubrique, exclusivement consacrée à la mise en ligne de textes offerts à ses visiteurs, www.corsicapolar.eu *  ouvre un nouvel espace. Il est dans les nuages, un peu comme dans nos esprits, un part de rêve. Un nouvel espace de liberté ? Une île, sans doute, où tout est possible, loin des contraintes de l'édition classique, riche de ces proximités nouvelles que la révolution numérique rend possible. La collection s'appelle Nuages noirs. C'est une expérience qui commence **.  Elle est digitale et c'est à vous de voir !

    * Sous la direction de John Rigobertson qui, entre deux missions d'observations des oiseaux des Terres Australes et Antarctiques, nous apporte une aide précieuse. Grand amateur de polars et passionné de littérature insulaire, John Rigobertson vit et travaille à Saint Pierre de La Réunion.<o:p>
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    Les « petites mains » de la médiation culturelle, pour contrebalancer le poids de l’homogénéisation du choix culturel proposé par les médias dominants, sont condamnées à pratiquer une guérilla aux moyens dérisoires qui consiste à créer des accidents de parcours, susciter des déviations, favoriser les obliques et toutes sortes de micro-expériences qui ouvrent le jeu et encouragent l’importance du soin que l’on se donne et que l’on donne aux autres en se cultivant…

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    Pour croire à une action en faveur de la diversité culturelle, sur le terrain, nous avons besoin de philosophes de l’action qui posent une vision globale et dessinent une perspective comme une raison d’y croire. Et il faut rendre des raisons d’y croire aux « petites mains » qui s’investissent au quotidien, sur le terrain, sans rien de spectaculaire, pour stimuler « l’intelligence collective », pour utiliser encore une formule de Bernard Stiegler…

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    Pour développer ce propos  un conseil de lecture :

     

    La Société de l’information Entretiens avec Philippe Petit de Bernard Stiegler.<o:p style="font-family: Times New Roman,Times,serif;"></o:p> Dans  l'Europe industrielle, entendue comme processus d'individuation psychique et collective,  où les industries (notamment les industries culturelles et cognitives) tentent de formaliser, contrôler, transformer et soumettre ce qui relève de l'esprit (aussi problématique que soit ce terme), par le moyen des technologies informationnelles et communicationnelles, l'esprit lui-même devient l'enjeu et l'objet d'une guerre. <o:p></o:p>

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